Soutien total à Stefanie Prezioso face aux attaques relayées par Le Temps

Stefanie Prezioso au Conseil national, mai 2020
Stefanie Prezioso lors de la session extraordinaire du Conseil national, mai 2020

solidaritéS a pris connaissance avec stupéfaction et consternation des propos apparemment tenus — selon l’article de Sylvia Revello publié dans le quotidien Le Temps du 11 décembre 2020 — par deux membres de notre organisation sur notre représentante au Conseil national, Stéfanie Prezioso. Ces attaques malveillantes et calomniatrices contreviennent gravement, d’autant plus qu’elles sont proférées de manière anonyme, aux règles et aux traditions démocratiques en vigueur dans notre mouvement, et elles sont en profonde contradiction avec toutes les valeurs que nous défendons. Nous les rejetons et les condamnons donc totalement.

Ces accusations sont d’autant plus choquantes qu’elles sont contraires aux faits: depuis son entrée en fonction, Stefanie Prezioso mène un travail quotidien et sans relâche, souvent seule contre toute la représentation parlementaire, pour défendre nos idées et notre programme.

Notre conseillère nationale a déposé un grand nombre d’objets (interpellations, motions, postulats) tant sur les questions nationales qu’internationales; elle s’est exprimée au Conseil national sur le budget Covid-19, sur la loi CO2, sur les aides à la culture, sur la protection des salarié·e·s et en particulier des femmes, sur le personnel de santé, sur les lois anti-terroristes, etc., comme en attestent un nombre considérable de communiqués et de lettres d’informations envoyées à des milliers de personnes au cours de cette dernière année. 

Ses prises de positions ont été relayées largement tant dans la presse alémanique que dans la presse tessinoise et romande et elles ont même eu un écho à l’échelle internationale, notamment sur la question de l’annulation de la dette, des droits du peuple kurde, du soutien au processus de paix en Colombie, des droits démocratiques au Brésil, des revendications du peuple palestinien ou de la défense de la liberté d’opinion et de recherche en Iran.  Et c’est sans doute pour cela qu’un journal néolibéral comme Le Temps cherche à salir son image. Il ne s’agit donc pas uniquement de calomnies mais de contrevérités crasses. Nous soutenons son action à Berne et nous lui réitérons notre pleine confiance pour les années à venir.

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